Reportage sur le canulare des belges
Reportage sur le canulare des belges
Vidéo envoyée par alleaume

Je déménage et quitte blogger pour rejoindre blogspirit! Blogger est très bien dans le sens où la simplicité prime et il es très facile de retoucher le code de la page du site pour lui donner la forme voulue. Il manque cependant des fonctionnalités importantes à blogger.
Je retiens deux fonctionnalités pour blogger: la liberté dans l'habillage et la navigation d'un blog à un autre de la blogosphère blogger, et ce via deux possibilités intéressantes:
Cependant, j'utilise mon blog comme un aide mémoire, à l'image d'un bookmark dont les liens ne sont pas simplement juxtaposés mais accompagnés de commentaires. Il me manque alors le rangement par catégorie ! J'ai vraiement longuement hésité, et peut-être que je ferai marcha arrière, mais en fin de compte j'opte pour blogspirit. L'architecture du blog est basée sur un squelette et des modules pré fabriqués, mais il est possible de créer ses propres mdules. De manière moins intuitive que blogger, mais c'est possible. L'interface des commentaires est plus facile pour les visiteurs du site, et il y a la possibilité du Trackback !!Essentiel pour avoir un blog qui puisse s'ouvrir à l'extèrieur !!
Le blog est encore en construction, mais il est disponible ici, et reste loblogo
.D'une manière plus général je trouve la fonctionnalité de mise en réseau des utilisateurs très intéressante, et je la trouve parfaitement complémentaire des blogs (je m'expliquerai dans une prochaine note), mais des outils très bien existent pour cela (OpenBC pour citer mon préféré) et l'organisation de mon blog tant en interne avec les catégories que parmi les autres blogs avec les liens / rétroliens était essentiel.
A noter que dans l'actualité on présente google comme celui qui veut organiser le savoir par des algorithmes et yahoo celui qui s'y attèle grâce à la production des internautes et les réseaux sociaux, mais cette distinction tombe avec la fonctionnalité de réseau social de blogger. Elle est sous exploitée, mais elle existe.
Aujourd'hui le hasard a voulu que j'ai des nouvelles de deux acteurs des télécoms très différents: un que tout français connaît (France Télécom) et un que peu de français connaissent (fon - c'est pas une blague). Les opposer permet je pense de bien illustrer un antagonisme maintenant classique dans la manière d'aborder un business.

A tout seigneur tout honneur, celui que tout le monde connaît. Ce géant bien connu se bat actuellement pour conserver un monopole via l'exclusivité d'utiliser les fibres optiques que l'opérateur aura posé. Ok, je comprends. Mais je ne cherche pas à rentrer dans les détails (pour ceux qui le veulent, un point de départ) et à connaître le degré de légitimité de la revendication: elle va dans un sens, celui de préserver l'acquis et de développer son activité (et son chiffre d'affaire) par le monopole.
De l'autre côté un intervenant, plus qu'un opérateur, du monde des fournisseurs d'accès qui a une offre similaire au français-parisien Ozone avec quelques règles simples qui en font toute sa force: fon (disponible en français). L'idée est d'utiliser les réseaux déjà existants et le surplus de capacité (en bande passante) de chacun pour le proposer à d'autres utilisateurs, moyennant finance ou gratuitement selon les cas. Le prérequis pour faire parti du mouvement est d'avoir déjà une connexion à Internet mise à disposition par un opérateur classique et le wifi pour couvrir une certaine zone.
Remarque: à moins d'être un linux, il faut payer pour pouvoir accéder à cette somme de réseaux. Deux modes de participation pleins d'humoure au dévelopement de ce réseaux basé sur l'exploitation des surplus de capacité en bande passante des particuliers: ces petits surplus mis bout à bout peuvent donner naissance à un réseau à part entière géré par un fournisseur d'accès complètement virtuel. On pourrait presque dire un parasite. Mais je trouve l'idée excellante, plus pratique il faut l'avouer que celle du réseau Ozone, pour le moment trop contraignante dans sa version gratuite pour pouvoir initier l'émulation qu'offre fon. Cet intervenant base ainsi son business sur quelque chose de tout à fait différent que France Télécom: l'exploitation d'un partage de l'existant (sans être philanthrope nonplus...)